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collège Bernard de Ventadour Privas - Ardèche ...... |
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Y a pas de laids arts:
une belle aventure pour une quarantaine de collégien(ne)s, membres
du Club-chant du collège B. de Ventadour.
Y a pas de laids arts est une sorte de "mini-opéra" (paroles des élèves et du prof, musique du prof) qui fut d'abord donné en spectacle à plusieurs reprises en 1990, puis fut enregistré en studio en 1991 (production et commercialisation d'une K7). Y a pas de laids arts raconte
l'histoire d'un gamin fraîchement émigré, qui se heurte
à divers murs, divers racismes: il se fait rejeter en tant qu'étranger
par quelques beaufs, en tant que petit par les "grands du collège",
en tant que musicien atypique par des sectaires du classique, du rock ou
du rap...
Y a pas de laids arts,
malgré les belles intentions humanistes de son sujet (et son titre
un peu démago), sait éviter un côté boy-scout
ou un discours trop manichéen.
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Un orchestre symphonique est en pleine répétition,
le chef et les instrumentistes tentent de perfectionner l'interprétation
d'une œuvre difficile.
La concentration du groupe est soudain perturbée par des éclats
de voix venant du cœur même de l'orchestre. Le chef explose et s'adresse
à un violoncelliste qui semble impliqué dans l'affaire :
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On avait offert au président d'une société
réputée un billet pour un concert de l'Orchestre National
de France, qui jouait ce soir-là la Symphonie Inachevée de
Schubert. Ne pouvant s'y rendre, il avait donné sa place à
l'un de ses jeunes collaborateurs, fraîchement sorti d'une école
de commerce.
Après le concert, ce dernier rédigea une note qu'il remis le lendemain à son président : "Je vous remercie beaucoup de l'excellente soirée que j'ai
passée. Au cours de ce concert, j'ai été amené
à élaborer quelques recommandations dont vous trouverez ci-dessous
l'essentiel:
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A l'époque de l'URSS stalinienne et de l'art d'état,
le gouvernement avait commandé une œuvre symphonique à un
compositeur officiel du régime.
Celui-ci eut une idée de génie : "Je ne vais pas me casser la tête, je vais demander à des secrétaires de recopier une partition de Chostakovitch à l'envers, en partant de la fin, et le tour sera joué !" Ce qu'il fit... Le travail des copistes terminé, arrive le jour de la première répétition. Chaque partition est distribuée aux différents pupitres. Le compositeur, qui dirige la répétition, compte "3... 4... " et l'on entend : clic |
Pourquoi Charles Gounod ne pouvait-il pas supporter Giuseppe Verdi
?
Parce que chaque fois que Gounod voulait l'Ave Maria, Verdi Otello ! |