de l'option musique en 2003 / 2004 |
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. ![]() . Cependant sa structure n’a été acquise qu’après le travail de plusieurs générations de musiciens. Tous les grands compositeurs en ont écrit au moins un, car cette forme nécessite une haute connaissance musicale. Pour une grande part d’entre eux, c’est un morceau montrant l’apogée de leur savoir, et par conséquent c’est une de leurs oeuvres les plus célèbres. Au cours du temps, cette formation a toujours gardé un côté intimiste. . I Composition du quatuor à cordes Le quatuor est composé de:
Exeption faite de la contrebasse, il est basé sur les mêmes
instruments que les groupes de cordes des orchestres.
Ci-dessous, nous voyons la tessiture des divers
II. Naissance du quatuor à cordes Le quatuor dans sa forme définitive a mis plusieurs siècles
pour apparaître.
Au XVIème siècle, apparaissent les quatuors
de violes ou pour violons. Leur principe est d’associer 4 instruments de
tessitures différentes mais complémentaires (1 aigu, 2 médiums
et un grave).Ceci établit un “esprit de quatuor” caractérisé
par l’homogénéité des timbres, l’égalité
entre les partenaires et leur dialogue constant.
Au XVIIème siècle, seule la première
structure est retenue. Il y a donc les quatuors de violes où s’illustre
l’école anglaise, et les quatuors pour violons qui sont plus en
vogue en Italie. C’est dans ce pays qu’il y a le plus d’intérêt
pour le violon, qui n’est pas encore tout à fait au point.
C’est au XVIIIème siècle avec Haydn que le
quatuor prend sa structure définitive de 2 violons, 1 alto et 1
violoncelle.
Le premier quatuor à cordes de Haydn date de 1750. Un groupe
d’amateurs invita haydn à venir à Weinzirl pour y composer
ds œuvres qu’on devait exécuter sur l’heure. Sous le nom de divertissements
nocturnes et cassations, il écrivit 18 compositions dont plusieurs
quatuors comprenant deux menuets en plus des trois mouvements habituels
: il s’agit là sans doutes des trois premières séries
de ses quatuors.
Au même moment, Boccherini écrit des quatuors plus proches de ceux de Mozart par leur abandon lyrique que de ceux de Haydn qui dont à la fois plus caustiques et plus rafinés. Depuis l’époque classique, la structure du quatuor adopte le
plus souvent la forme et la structure d'une sonate :
III. Evolution du quatuor à travers quelques exemples Nous allons nous pencher sur quelques 4ors qui nous semblent
caractéristiques.
Quatuor des dissonances de Mozart
Quatuor de Beethoven n° 4
.
Quatuor de Ravel
Berg et ses quatuors
Bartok, un nouveau mode de jeu du quatuor
Quatuor de Ligeti
Conclusion Au cours de ce dossier, nous avons vu que la tessiture du quatuor à
cordes s’étale sur une grande étendue de notes. De plus,
sa forme et son mode de jeu ont évolué, pour aboutir, de
nos jours, à des quatuors très différents des premiers,
qui eux datent de l’époque classique, avec Haydn.
Dossier réalisé par Yann, Méghann et Floriane
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. . Introduction Nous allons traiter le mouvement romantique qui unit poètes,
peintres et musiciens de cette époque qui rassemblent leurs forces
pour capter et communiquer des vérités supérieurs
dont le nationalisme de l’Europe des lumières n’a pu fournir les
clés.
I Définition du Romantisme C’est un courant musical, artistique, littéraire
de la fin du XVIIIème siècle au début du XIXème
siècle. C’est l’expression du « moi », la valorisation
des sentiments personnels. Il remet en question les règles favorisant
la liberté de l’individu.
Extrait d’un trio en Do mineur du Schubert
II La musique romantique a) Historique Le Romantisme s’étend sur les trois
premiers quarts du XIXème siècle. Il suit la période
classique et précède la période Post-romantique. Il
se développe tout d’abord en Allemagne puis va s’étendre
dans toute l’Europe.
Extrait de Heidenröslen de Schubert et Goethe (chanté
par les élèves)
b) caractéristiques - Le langage :
- L’orchestre :
Orchestre symphonique de Genève
- Les thèmes :
c) Le développement de ce style musical en Europe L’ Allemagne est le point de départ du romantisme grâce à Beethoven qui l’amorce. Ce pays est un des centres de ce courant musical qui se développe ensuite dans toute l’Europe mais avec une influence moins présente ( ex : la France reste modérée par rapport à ce courant). Donc, tous ces paramètres ont pour objectif l’expressivité, la valorisation des sentiments qui sont l’essence du romantisme. Ainsi que sont point de départ. d) Les compositeurs Les idées romantiques marquèrent la pensée des compositeurs tout au long du XIXème siècles et certains compositeurs y pensaient même déjà à l’époque classique. Les trois figures majeures du romantisme sont Beethoven, Berlioz (en France) et Wagner : le premier l’ouvre, le second le développe et le dernier le clôt. Beethoven. Mais, il y a aussi eu Schumann, Chopin, Brahms, Schubert........ . III Les autres arts Parallèlement au romantisme musicale se développe aussi le romantisme artistique et littéraire. Au niveau artistique et littéraire, le principe
romantique est le même qu’au niveau musicale. C’est à dire
l’expressivité, l’apologie du « moi » et l’expression
des sentiments personnels.
« A peine pûmes-nous attendre que nous fussions seuls pour commencer nos éclats de rire, et j'avoue qu'ils me reprennent encore en y pensant, car l'on ne saurait imaginer une espièglerie mieux soutenue et plus heureuse. » extrait des confession (livre 3ème) de Rousseau ou l’on sent bien l’expression des sentiments. « le 3 mai 1808 »par Francisco Goya . ![]() . . Conclusion Le romantisme qui dure pendant trois quart de siècle réuni trois formes artistiques différentes dans le même esprit des émotions, de soi même et dans la liberté d’expression. Nous remarquons qu’en France c’est surtout l’art littéraire qui sera le plus touché par ce mouvement et en Allemagne ce sera l’art musical. Le romantisme ouvre une nouvelle porte vers la liberté musicale et les nouveaux genres musicaux selon les goûts des compositeurs. Extrait du concerto pour piano en Do m de Beethoven
. . ![]() |
. ![]() . Nous allons étudier l’évolution des claviers à travers le temps. Mais, il faut d’abord bien comprendre ce qu’est un clavier, et ce que sont les notes qui le composent. . . Un clavier est, en réalité, un intermédiaire entre
les mains d’un musicien, et le son que l’instrument produit. Les touches
sont disposées de manière à s’adapter à la
position naturelle de l’Homme : horizontalité, espacement des touches
entre elles etc…
![]() Le nom des notes de musique, à savoir Ut (do), ré, mi, fa, sol, la, si, do, proviennent de l’époque des Modes Grégoriens. En effet, elles étaient les premières syllabes d’un chant Grégorien. Les touches du clavier ont donc été conçues pour ces modes, il y a 7 touches (notes) blanches, qui sont les principales, et 5 touches noires, qui permettent de moduler. Nous devons donc notre gamme actuelle aux chants Grégoriens ! L’octave est naturel. Si l’on prend une note (exemple do), le do à l’octave haut dessus correspond en fait, à une multiplication par deux de la fréquence du son. Par conséquent, si l’on choisit toujours le même do, et que l’on prend le do une octave en dessous, la fréquence produite par le son de la note, sera, alors, divisée par deux ! Le découpage en demis tons, est subjectif. C’est l’Homme qui
a choisit cette scission. Dans beaucoup de gammes notamment orientales,
on trouve des découpages par tiers de tons ou même quart de
tons. Nos claviers, ne nous permettent que les demis tons !
Le clavecin est un instrument à cordes pincées. Il peut être considéré comme l’ancêtre du piano, quoique les mécanismes soient très différents. Il est joué par le claveciniste à l’aide d’un ou de plusieurs claviers (deux, rarement trois), qui, par un mécanisme précis, vont pincer les cordes afin de les faire vibrer. Le clavecin, instrument prestigieux à l’époque baroque, a été presque complètement délaissé et oublié pendant tout le 19eme siècle ; sa réapparition progressive pendant le 20eme s’apparente à une véritable résurection. Le clavecin stricto sensu a grossièrement la forme d’un triangle
rectangle affectant l’aspect d’une aile d’oiseau disposée horizontalement.
Le ou les claviers sont placés sur le petit côté de
l’angle droit. A gauche (du côté des notes basses), la caisse
est rectiligne : cette paroi s’appelle l’échine. A droite (du côté
des notes aiguës constituant l’ « hypoténuse »),
la paroi est concave (c’est l’éclisse courbe) et elle rejoint l’échine
par une queue ou pointe rectiligne ou convexe. On peut rapprocher cette
forme à celle du piano à queue, le clavecin étant
moins massif et surtout moins large du fait de son étendue qui en
couvre guère plus de cinq octaves. Il est aussi beaucoup moins lourd
car toute la structure est en bois, sans cadre métallique sauf dans
les clavecins de la première partie du 20eme siècle.
![]() La forme du clavecin provient directement de la longueur des cordes, et si toutes étaient de même matière, de même section et soumises à la même tension, les pointes d’accroche seraient disposées suivant une courbe exponentielle : L’instrument serait très long. Pour palier cela, on fait varier la matière et la section des cordes de l’aigu (cordes en fer de petit diamètre) vers le grave (cordes en cuivre de plus gros diamètre). L’augmentation du diamètre est encore plus rapide vers le grave, car c’est là que le problème de longueur devient important ; de ce fait, vers les graves, le chevalet est incurvé en sens inverse ou fortement coudé. Le clavecin est surmonté d’un couvercle en une ou deux parties articulées à l’échine, qui se soulève latéralement lorsqu’on en joue. Le couvercle est maintenu en position ouverte par un simple tige de bois non fixée à l’instrument appelée la béquille. IL est destiné à protéger de la poussière et des chocs la table d’harmonie et les cordes qui sont très fragiles. Par ailleurs, un panneau amovible (le portillon ), peut venir enfermer complètement le clavier. Chez les Flamands et les Français, la table d’harmonie est le plus souvent décorée de façon fastueuse de motifs floraux d’insectes, d’oiseaux, etc. alors que les Italiens et les Anglais préfèrent le bois brut. La décoration de la caisse diffère aussi selon les traditions. En Italie on préfère les moulures, sculptures, gravures, peintures avec incrustation de métaux précieux, en Flandre on utilise des papiers peints avec arabesque et motifs géométriques, en France, le clavecin est un élément important de décoration des maisons nobles et bourgeoises et comporte donc des parures de luxe, en Angleterre, on privilégie l’ébénisterie et enfin en Allemagne, les influences des autres pays se superposent. A l’époque baroque, mis à part les instruments anglais
tardifs, le clavecin ne comporte pas de pédales. Si elles existent,
elles servent au changement de registres et autres mécanismes expressifs.
Les clavecins français, pour cette fonction, utilisaient plutôt
des genouillères. Les pédales ont été à
l’honneur au début de la renaissance du clavecin vers 1900.
Historique de l’Orgue : L’Orgue est le premier instrument à vent mentionné dans la bible, mais le plus ancien d’entre eux date de plus de 200 ans avant J-C. Fabriqués en Égypte, ils étaient constitués par une sorte de grande flûte de Pan, munie d’un clavier rudimentaire, et d’un système analogue à la presse hydraulique qui fournissait l’air sous pression, nécessaire à son fonctionnement. Dans l’histoire occidentale, c’est au dixième siècle,
que l’Orgue est reconnu. On en distingue alors deux sortes : les «
positifs » dont l’installation était fixe, sur des pieds appropriés,
et les « portatifs » qui pouvaient être joués
dans une procession ou posés sur une table. Mais l’Orgue connaît
son essor entre le 11eme et le 13emme siècle, où de nouvelles
technologies lui sont appropriées. Répartition des tuyaux
en « jeux » (certains sur plusieurs rangs), augmentation du
nombre de touches, et surtout, introduction de l’instrument dans les églises,
où il y trouvera une place sans pareils. Mais le Clavecin ne cesse
d’évoluer, et pour cause, l’apparition du clavier à pédales
(ou pédalier), et l’invention des principaux jeux d’anches ( lames
de métal dont les vibrations sont le principe sonore de l’Orgue.
Les premières œuvres écrites spécifiquement pour l’Orgue
voient le jour, en Angleterre ( 14eme). De grands Orgues sont alors construits,
allant parfois jusqu’à deux mille tuyaux, trois claviers plus le
pédalier. Au 16eme siècle, de nombreux jeux apparaissent
comme les jeux de bouches. Premiers « sommiers » à «
registres » et « gravures »(voir fonctionnement ci-après),
et agrandissement des claviers (4octaves). Au 17eme, Paraît l’adjonction
d’un cinquième clavier manuel (bombarde), et l’invention de la «
boîte expressive » dans laquelle sont enfermés les tuyaux
du « positif ». Le 19eme siècle, apporte de nouveaux
moyens techniques à l’Orgue, puisqu’on y trouve des leviers pneumatiques,
application de l’électricité à la soufflerie puis
aux commandes, et toujousr une augmentation du nombre de touches (5octaves)
et de claviers.
![]() Le fonctionnement : >>> L’alimentation en air :
>>> Le sommier :
![]() On peut donc dire que l’Orgue est un clavier qui à traversé une grande partie de l’Histoire, et qui continue d’exister encore aujourd’hui. Il est, techniquement, un instrument à vent très complexe, qui nécessite une grande compétence d’harmonisation de la part de son utilisateur. C’est un instrument très courrant dans les églises qui y trouve une place importante. Son compositeur principal était Bach. . Le piano Historique du piano : C’est le pianoforte qui est l’ancêtre du piano, prolongement naturel du clavecin par l’invention de ses cordes frappées. Bach l’a boudé, mais Mozart et Haydn l’ont apprécié. Toutefois, il n’a rien à voir avec le piano que l’on connaît aujourd’hui, on peut considérer sa période, de fin 1700 à 1850 environ. La continuité de ce pianoforte, est le « Hammerfluegel » qui résulte de l’évolution de la mécanique de l’instrument, les marteaux se recouvrent de cuir. C’est le piano de Beethoven par excellence. On peut considérer sa période, de 1800 à 1840 environ. Le piano « romantique » est l’évolution du pianoforte : des barres de renfort en métal permettent d’augmenter la tension donc la puissance. Il possède des cordes parallèles et des barres métalliques de renfort pour la tension. La mécanique à double-échappement est inventée. Chopin adorait pleyel et Liszt appréciait Erard. On peux considérer sa période de 1840 à 1880/1890. Le piano « moderne » est l’aboutissement du pianoforte car il possède des cordes croisées, un cadre fonte d’une seule pièce, le fameux double-échappement, un clavier de 7 octaves. Tous les grands pianistes et compositeurs du siècle sa sonorité et son « modernisme ». On peut considérer sa période de 1865 aux années 1945. Le piano « récent » est l’adaptation de l’instrument piano à l’industrialisation d’après-guerre et de l’explosion du marché mondial du piano. Sa puissance augmente autant que son coût à l’achat, et son esthétique est résolument moderne. On peut considérer sa période de 1950 jusqu’à aujourd’hui. Fonctionnement : La mécanique du piano est un ensemble de plusieurs pièces qui fonctionne sur le principe du levier. C’est cette mécanique qui permet à la corde d’entrer en vibration en traduisant l’énergie appliquée à la touche par le doigt lors de la frappe. Les touches du clavier :
![]() L’extrémité arrière d’une touche repose sur la barre de repos, s’élève lorsque la touche est enfoncée sur la barre d’enfoncement, et bascule sur la barre de balancier, transmettant ainsi, grâce au pilote vissé sur le bout de la touche, ce mouvement à la mécanique. Le revêtement des touches est aujourd’hui en plastique, polymère ou résine acrylique, alors qu’autrefois, les touches blanches étaient en ivoire et les noires en bois d’ébène. Les marteaux :
Les étouffoirs : Il sert à étouffer la vibration de la note lorsqu’on a cessé de l’appuyée. Sur un piano droit, il correspond à une pièce de bois garnie d’un feutre spécial, montée sur une tige insérée dans une lame en bois, vissée au sommier des marteaux au moyen d’une fourche. Il appuie sur les cordes grâce à un ressort en laiton qui assure également son retour au repos sur les cordes. ![]() Les chevalets : Sur un piano droit, c’est une pièce en bois, constituée de plusieurs éléments qui transmettent la force d’attaque de la touche au marteau et qui permet ainsi de produire un son lorsqu’on enfonce une note. Le bâton d’échappement propulse le marteau vers la corde, puis, à mi-course de la touche, échappe du dessous du marteau, afin de permettre de répéter le mouvement de la touche et donc de répéter le son de la note enfoncée. Dans la mécanique horizontale d’un piano à queue, le chevalet est équipé d’un ressort spécial et d’un levier amovible qui permettent de doubler le dégagement sous le marteau du bâton d’échappement afin de répéter indéfiniment la note. C’est ce qu’on appelle le double-échappement qui est inexistant sur les pianos droits. Ce ressort est plus fiable que le mécanisme du piano droit et permet une agilité au touché ainsi qu’une répétition plus fine. ![]() . . . Autres instruments à claviers Un autre instrument à clavier connut un succès important
dès le XVIIè siècle : l'épinette.
Le clavicorde, que l'on peut considérer comme l'ancêtre
du piano, avait déjà bénéficié de notables
améliorations depuis le XVIè siècle. La touche était
prolongée par une tige de bois munie d'une fiche métallique
: quand elle s'abaissait, la pièce de métal venait frapper
la corde par-dessous. Le son produit était faible, ce qui faisait
dire, non sans humour, " que les apprentis étaient bien aise d'avoir
un instrument qui ne fasse pas trop de bruit afin qu'on ne puisse pas trop
aisément remarquer leurs fautes ".
Le tympanon, issu de la doucemelle médiévale,ne
connut qu'une éphémère popularité. De forme
trapézoïdale, il se posait sur un support et l'exécutant
frappait les cordes avec deux baguettes de bois au bout légèrement
recourbé. L'étendue, de trois octaves à l'origine,
fut portée à cinq par le facteur allemand Pantaleon Hebenstreit.
Louis XIV, à qui il présenta son instrument en 1705, l'apprécia
et l'appela " pantalon " en hommage à son créateur. Mais
il ne tarda pas à tomber dans l'oubli, alors que le tympanon, sous
sa forme populaire, subsista encore au XVIIIè siècle.
Le format midi :
Canaux midi
Claviers midi :
Expander :
Echantillonneur :
Synthétiseur multi timbral :
![]() Wave table : C’est le nom donné aux synthétiseurs qui ont en mémoire les sons qu’ils sont capables de reproduire. Ces sonorités sont des échantillons mémorisés issus de vrais instruments. Plus la mémoire qui leur est attribuée est grande, plus les sons sont riches. . . Nous avons sélectionné quelques morceaux donnant un bon aperçu de ce que l'on peut tirer des 3 principaux instruments traditionnels à clavier. Vous les trouverez chez tous les bons disquaires ou dans les médiathèques. Piano : Etude opus 10 n° 1, de Frédéric Chopin (19ème siècle). Orgue : Passacaille en do mineur, de Jean-Sébastien Bach (18ème siècle). Clavecin : Six pièces en sol mineur (d'après Lully),
de Jean-Henri d'Anglebert (17ème siècle).
En conclusion, on peut dire que le clavier est avant tout un intermédiaire entre le musicien et le son produit. Depuis des siècles des instruments à claviers sont présents dans beaucoup de cultures (égyptienne, européenne, etc…), mais ils ne cessent d’évoluer. Du clavecin et orgue au piano moderne, en passant par de nombreux instruments dérivés tels que l’épinette, le guide-chant, etc…les claviers permettent une grande richesse de sons par leur diversité. Les claviers traversent les âges et les époques, ils sont aujourd’hui numériques…Attendons de nouvelles technologies pour peut-être un jour voir des claviers de plus en plus originaux ! . Dossier réalisé par Yéléna, Maéva, Justine, Elodie et Emmanuelle . ![]() |