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Quelques photos de Chomérac
accompagnées parfois de quelques commentaires...

 
 
 
 
Si vous préférez voir les photos sur fond noir (au détriment de l'unité du site, mais les photos ressortent mieux), cliquez ici !

 
 
 
 
 

Taillés dans le marbre local (un calcaire compact et solide), le logo de Chomérac et une colonne brisée ornent l'une des entrées du village.
C'est toujours mieux qu'une enseigne Mac Donald ou qu'une pub Superfl U !
 
 




Un témoin de l'époque où l'industrie était florissante à Chomérac : l'aqueduc qui amenait l'eau, source d'énergie, à l'usine.
Sur la photo du bas, on voit qu'il est construit de pierres volcaniques rondes et noires (comme la plupart des vieilles maisons de la commune) descendues du plateau du Coiron par les rivières .



 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Témoignant aussi du dynamisme passé de Chomérac : les anciennes carrières.
Certaines se prêtent particulièrement bien à l'entraînement "escalade". On va s'y "faire les doigts" lorsque l'on a 1 heure devant soi. 
Ici la fille en pleine action, dans une traversée très classique...

Et ci-dessous le père...


 
 
 
 
 
 
 

Une belle ferme de la plaine de Chomérac (en fait une ancienne magnanerie). Sur le plan architectural, il ne s'agit pas d'un style typiquement ardéchois !
 
 





Dès que l'on parle usines, carrières ou terres agricoles, cela signifie que beaucoup travaillent et transpirent, et que quelques autres s'engraissent sur leur dos. Il y a donc quelques petits châteaux sympa, sur la commune.
 
 





La gare de Chomérac, aujourd'hui désaffectée. En effet, quelques décideurs ont décrété, en fonction de critères bien à eux et très partiels, qu'elle n'était plus rentable. Et pourtant...
....
Et pourtant, si l'on intègre dans ces "savants" calculs le temps perdu pour l'usager, la nuisance du transport routier (émissions de gaz polluants), les risques d'accident de la circulation, la suppression d'emplois liée à la fermeture de la gare etc., le jugement sur la rentabilité pourrait être différent...

Par exemple, le Choméracois qui veut se rendre à Lyon, Paris ou Grenoble en train doit d'abord se taper une quarantaine de km en voiture jusqu'à Valence (s'il a un véhicule ; pour les autres, jeunes, vieux, chômeurs, qu'ils prennent le car qui passe de temps en temps par Chomérac ! ). Puis il doit la garer dans un parking, payant cela va de soi. Et notre Choméracois a enfin droit aux transports en commun. 

Autre exemple : il m'est arrivé, il y a un peu plus d'une dizaine d'années (le transport voyageurs n'existait déjà plus) de réceptionner des colis à la gare de Chomérac. Maintenant c'est beaucoup mieux, ce sont des camions qui livrent depuis Valence, ça fait juste des pots d'échappements en plus pour empoisonner l'air, ça sature encore un peu plus la vallée du Rhône (elle n'en a pas besoin, la pauvre ! ), et ça provoque quelques accidents de la circulation en plus...

Bref, pas de quoi faire sourciller ces fameux décideurs !
 

Et après tout, peut-être sont-ils sensibles au charme des herbes envahissant les voies, à ces rails ne menant plus qu'à d'épais fourrés...
...
Les troupes de théâtre de l'Amicale Laïque de Chomérac ont utilisé cette friche, il y a quelques années (en 97, je crois), comme décors pour un spectacle délirant où se mêlaient jeunes et adultes (projet mené sous la houlette de Louisa Gaillard).
Cette ligne allait du Pouzin (vallée du Rhône) à Privas, via Chomérac et Alissas. Aujourd'hui, ces rails embroussaillés amènent plutôt vers un peu de nostalgie...
Des projets intercommunaux pour transformer cette voie en piste cyclable ont été évoqués, mais pour l'instant les coûts sont dissuasifs.
 
 





Chomérac côté Est (envers de la photo figurant en haut de la page principale consacrée à Chomérac).
 
 
 
 
 

Et ci-dessous quelques photos du coeur du village.



 
 
 



 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 


 
 
 
 


 
 
 
 
 
 


 
 
 
 

A suivre ?
 
 
 
 


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