Il arrive qu'à la recherche
du "petit coin paradisiaque" on se lance sur des chemins
qui s'avèrent finalement de moins en moins pratiquables au fil
des km, jusqu'au moment
où tout demi-tour et toute marche arrière deviennent
impossibles. Alors on s'angoisse et
on transpire, on sert les fesses, on remet quelques pierres là
où le chemin s'éboule, et
on avance jusqu'à rencontrer un chemin plus carrossable...
Jusqu'à présent on a toujours réussi à
ramener l'engin...